Je viens de rentrer, j’ai immediatement pensé a j.i. !
Ce week-end, j’ai envie de le ranger dans un tirroir, celui que je n’ouvre jamais. Un moment fou, absolument pas reposant. Je me demande comment j’ai pu prendre sur moi pendant 2 jours.
Je retiendrais 2 choses, breves et bonnes :

- je n’ai pas bu. Pas une goutte, parmis ces alcools.
- un week-end extremement malaisant. Je me demande comment on peut mettre quelqu’un (en l’occurence moi) aussi mal a l’aise. Je me demande comment tout cela a pu etre possible. Je me demande comment un etre humain peut se transformer en sur-homme par le seul pouvoir de l’amour. Comment ce sentiment d’amour peut voler au dessus des defauts des autres, et du malaise general.

Ce week-end, j’ai stressé, angoissé, j’etais en colère, j’ai maudis, j’ai encaissé, j’ai admiré, j’ai revé, j’ai pensé, j’ai sur-estimé, j’ai sous-estimé, je me suis accroché. Et toutes ses emotions, entassé par la nicotine, qui ne peux que cacher et ettoufer ces ressentis, toutes ses emotions s' evacuerons demain, sur mon velo d’amour.

Merci aussi a D. Il ne converse pas, mais en un mot, il a retourné mon coeur. Et tous les soirs, il me souhaite " bonne nuit ", comment je ferais, sans ses bonnes nuits ?

En tout cas, j’ai appris enormement de choses ces deux derniers jours, des choses dont je ne soupsonnais pas meme l’existence. Des gens, qui ont tellement de resistance ! Vache !

A demain journal.