Quand je pense a mon pc (pas mon ordinateur hein...). Je me dis que j’aurais pu m’attacher fort a lui (je ne suis pas ordinateurophile).
5 ans qu’on se frequente, son interet vis a vis de moi et sa delicatesse pourrait me faire penser a un pcra. Si j’aurais été fragile, influençable, insouciante, je serais tombée amoureuse de lui dès le debut.
La premiere année, j’ai faillit, je pleurais en pensant a lui, puis je me suis reveillé avant qu’il ne soit trop tard.
Et j’ai bien fait !

Et je pense a lui ce soir. Il m’ignore. J’adore ça. Bizarrement, j’adore. J’aime quand un gars ne me colle pas, qu’il me laisse le temps de me demander ce qu’il fait a cette heure la. (Bon moi jmen fous de ce qu’il fait a cette heure la, mais bon).

Si j’etais amoureuse de lui, je serais malheureuse pour lui.
Mais je ne le suis pas, et je m’en fous de sa gueule. Il m’intrigue, il me plait. Il me destabilise souvent. Je m’inquiete pour lui, je tiens a lui. Mais je n’ai aucun sentiment d’amour. Et du coup, quand je pense a lui, ben jsuis heureuse : heureuse de tomber tres difficilement amoureuse.

Parce que si un gars veut me rendre amoureuse, voici la clé : du temps, enormement de temps, du dialogue, et de la sincerité, et des km, la distance hein, un gars qui sms tous les jours IL DEGAGE !!!. Or, lui, il est trop previsible. Je connais toutes ces intentions, je pourrais predire le moment où il va me parler, et je reconnais le moindre sous-entendu dans ces phrases.

Haha excellent !